Notre espace de vie est gouverné par des lois physiques immuables, sous réserve de ce que nous pourrions découvrir à futur. Le tableau périodique des éléments chimiques, connus aussi sous le déterminant « table de Mendeleïev », représente tous les éléments chimiques, ordonnés par un numéro atomique croissant, est organisé dans une configuration qui sous-tend leurs propriétés. L’évolution des connaissances a conduit à des réajustements dont la version encours permet de se rapporter à tous les types de comportements physique et chimique de ces éléments. Sa forme standard comporte 118 éléments dont le premier est l’hydrogène1H.
Interactions naturelles et « contre nature »
L’hydrogène est l’élément chimique le plus abondant dans notre univers et aussi le plus simple. Il est composé d’un proton et d’un électron. Il est source de vie lorsque deux atomes d’hydrogène sont reliés à un atome d’oxygèneH2O.
De multiples combinaisons de l’un et/ou l’autre des éléments, sur plusieurs centaines de millions d’années, ont construit un monde en équilibre.
« … Rien ne se crée, rien ne se perd et rien n’est statique… »
L’être humain, dans son exploration continue, en a compris les assemblages et décompositions, recompositions pour en faire des produits à son usage de facilitation de sa vie, sans en prendre la mesure de l’impact de ses implications dans le temps sur l’environnement.
L’eau a ce statut particulier de se retrouver soit à l’état liquide, solide ou de vapeur. Elle est déterminante de la vie sur notre planète. En fonction du rayonnement de notre étoile solaire et de la structure des couches atmosphériques, des éloignements de celle-ci au cours des saisons, compte tenu de l’inclinaison de la Terre, il va interférer sur le développement de la planète en alternant les saisons chaudes et froides. Cette eau est fragile et toute interaction avec des éléments « indésirables » non en relation avec le développement des conditions de vie acquise sur le temps long, on se trouve rapidement à une destruction massive des espaces de vie nécessaires à l’humanité et au vivant en général.
Cette même eau nous confirme que rien ne se crée, rien ne se perd et rien n’est statique. On se baigne dans un fleuve en appréciant les propriétés de l’eau présente, alors même que celle-ci ne fait que passer. Et pourtant, nous avons l’impression qu’elle est toujours la même et que l’environnement du moment est stable.
« …notre objectif est de coconstruire une économie forte… »
L’humain est à mi-chemin entre l’infiniment grand, l’univers, et l’infiniment petit, l’atome. Il ne peut que constater les transformations primaires et encore, si celles-ci se déroulent sur plusieurs années, décennies, il ne se rend pas compte que les intrications de ses développements induisent des modifications potentiellement dommageables sur la permanence de sa survie. Cette permanence ne doit pas négliger le droit des générations futures à poursuivre « l’aventure » humaine. Nous devons préserver les droits d’autrui, si l’on considère que celui-ci a un droit, alors même que nos actes sont encadrés pour les seuls êtres humains vivants, qui ont des droits définis, et plus ceux qui sont décédés. Devrions-nous reconnaître aux générations qui nous suivront des droits encadrant nos actions actuelles, en rendant certaines de nos actions immédiatement répréhensibles devant la loi pour protéger l’avenir ? La question reste ouverte, mais mériterait un statut juridique étendu.
Reprenons notre cycle de l’eau qui passe. Si en l’état actuel nous en polluons celle que nous voyons immédiatement, nous ne pouvons ignorer que celle-ci transporte toutes nos « fabrications », rejets chimiques, déchets de toutes natures et autres polluants au fil des courants, jusque dans les lacs et les océans et elle les conserve dans son état de glaciation pour les faire réapparaître ultérieurement. Ce constat est avéré avec des fontes accélérées des glaciers qui laissent apparaître des « résidus » du passé humain, à la différence que certains éloignés étaient naturellement intégrés et ne nuisent pas à au développement de l’environnement alors qu’il en est réparti des molécules dommageables à la vie de nos transformations « chimiques » actuelles. Celles-ci sont transportées également par les nuages, état de vapeur affirmé, qui répandent à leur retour à l’état liquide des pluies les composants vagabonds et destructeurs : les pluies acides pour un exemple premier.
« … l’innovation est une permanence de l’humanité. »
Nous devons trouver le courage intellectuel de nous poser les bonnes questions sur nos implications sur le vivant, sachant que les réponses peuvent donner le vertige ! L’innovation est une permanence de l’évolution de l’humanité, mais nous devons accepter que celle-ci nécessite un champ de distorsion de la réalité du présent qui, avec les réponses obtenues doit nous conduire à mettre en place les conditions propres à ce que la réalité future soit inversée dans les impacts négatifs que nous « cultivons » jour après jour, 7/7, 24heures sur 24. Pour ce faire, il faut sortir du biais de jugement qui est notre confiance, croyance excessive dans ce qui a été fait. La « loi de l’instrument » « marteau de Maslow » induit que si notre visionne va pas au-delà de l’outil utilisé, nous verrons le tout comme un clou avec des applications qui sont erronées, car pas applicables en tant que telles à toutes les transformations nécessaires. C’est bien là aussi une démarche que nous devons considérer.
Des solutions accomplies et accessibles
Dans ce concept de l’usage de multiples approches d’impact positif sur l’environnement, nous avons créé ONECREATION Coopérative qui investit aussi bien dans des sociétés cotées que non cotées, du Private Equity à plusieurs stades de développement et des infrastructures. Dans ce cadre, la recherche d’impacts sur l’environnement ne se concentre pas que sur les énergies renouvelables ou des « terres vertes », mais bien sur-le-champ élargi de toutes nos interactions. Nous considérons aussi bien ce qui peut, entre autres, réduire l’utilisation de matières premières, que aussi bien transformer des utilisations primaires en multiples opportunités. C’est ainsi que nous avons des champs d’expression et d’investissements qui nous permettent, avec plusieurs sociétés de qualité et détenues dans différents secteurs économiques, d’être dans le domaine du médical (Sterilux SA – réduction des déchets par la réutilisation d’objets), l’industrie automobile (TRSTyre Recycling Solution SA – réduction des déchets par la transformation à multiples usages de matériaux réintégrés dans le circuit économique), que l’aérospatiale (ASTROCASTSA – une meilleure gestion des ressources pour un exemple d’application) ou la grande consommation (Ma Bonne Étoile – contenants à usages multiples ou en matière végétale). Une matière d’origine a de multiples applications en considérant dès sa première origine une approche d’économie circulaire, de même que des matières végétales sont renouvelables.
ONE CREATION Coopérative www.onecreation.org – est accessible dès CHF 10’000.- d’investissement et permet à tout investisseur/associé d’être copropriétaire des entités précédemment référées, ainsi que plus d’une trentaine d’autres sociétés (incluant les entités cotées diversifiées internationalement) et projets durables. Elle distribue des dividendes lors de chaque exercice positif (pour la septième année consécutive sous réserve que l’assemblée générale de2020 accepte la proposition du Conseil d’administration). Ont adhéré des personnes physiques personnellement ou pour leurs enfants, des fonds de pension, des ONG, fondations philanthropiques, des sociétés commerciales, des villes et autres spécifiques. Une coopérative des parties pour relier la finance à l’économie réelle et retrouver le temps long et intergénérationnel n’est plus un projet, mais une proposition concrète.
« … Nous en avons fait notre engagement pour nos clients … »
De l’approche de la coopérative, nous en avons intégré un modèle de gestion concret qui se décline dans différents produits financiers qui se complètent et interagissent avec les opportunités qui se présentent. Notre objectif est de coconstruire une économie forte. Ces différentes solutions sont accessibles à toutes les parties prenantes désireuses de disposer d’investissements durables.
Investir positivement
Nous avons brusqué les équilibres de la nature et avons brisé de multiples harmonies, nous devons recréer un développement économique favorable aux conditions-cadres permettant une rénovation de ces équilibres. Le cours de la transformation visible, à vue humaine de quatre générations en ce 21èmesiècle, de l’environnement bouscule nos représentations traditionnelles d’un développement économique à obsolescence programmée.
Agir dans le sens d’un développement durable est à la portée de toutes et de tous. La clé d’un avenir soutenable est ainsi un acquis. Repenser, rénover, reconstruire, réenchanter offrent de transformer un futur incertain. De par nos solutions d’investissement durable dont 2020 nous a permis d’en valider les risques et les modèles de gestion, nous investissons pour un avenir réel.11 Héraclite, Vème siècle av. J.C., Fragments1Préservation – Valorisation – Transmission sont également des considérants fondamentaux qui font que nous orientons le capital de nos clients vers les entreprises qui ont un impact positif.
L’environnement n’a pas de but, propos personnel, il évolue selon les nécessités qui le composent. L’humain n’en est pas une. Celui-ci ne peut retourner à l’état « nature », dès lors la durabilité qui est évaluée en fonction des circonstances lui offre un potentiel de croissance avéré. Nous sommes à l’aube d’une extraordinaire croissance économique et nous en avons fait notre engagement pour nos clients dans nos prestations de services et investissements proposés.
Olivier Ferrari
FondateurCEO
